Les Hautes-Courennes
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Entre Viens et Saint-Martin-de-Castillon, dans la partie la plus orientale du Vaucluse, face au Grand Luberon, les gîtes (label WWF) des Hautes-Courennes offrent à l’entomologiste (comme à ses proches) de multiples avantages :
• un panorama superbe sur le Luberon (au Sud) et sur les Alpes de Haute Provence (à l’Est)
• un choix inépuisable de visites dans la partie non touristique (pourtant la plus belle) du Parc Naturel Régional du Luberon : Viens, Caseneuve, Céreste, Oppedette, Colorado provençal, Apt, Montagne de Lure, Manosque, Luberon, etc.
• des randonnées sur le plateau et dans le vallon des Hautes-Courennes : garrigue, champs d’épeautre, champs de lavande, étang, etc.
• une nature préservée présentant une réelle richesse florale et faunistique (oiseaux, lièvres, lézards, etc.)
• des gîtes bien conçus et agréablement décorés pour un prix très abordable
• une piscine magnifique
• et beaucoup de papillons, tant pour la diversité – plus de 70 espèces de rhopalocères – que pour la densité des individus.
À noter que Zerynthia polyxena (DENIS & SCHIFFERMÜLLER, 1775) abonde en demeurant extrêmement localisée : il m’a fallu plusieurs séjours en avril pour découvrir le biotope précis, pourtant peu éloigné d’un chemin où je prospectais régulièrement ! Zerynthia rumina (LINNAEUS, 1758) est aussi présente en effectifs plus réduits.
En résumé, les Hautes-Courennes s’avèrent un lieu privilégié pour passer de superbes vacances en pleine nature, en abandonnant, sans trop de culpabilité, une partie des siens au bord de la piscine et s’en aller explorer lavandes et garrigues.
Informations sur le site de Linda Lorentz.
Une indication bibliographique : FAVET, Claude & FRAPA, Pierre, Le Luberon des insectes, Parc naturel régional du Luberon (1998) :